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How to use Multi Control on your Samsung phone or tablet | Samsung UK

How to use Multi Control on your Samsung phone or tablet | Samsung UK ✍Highlight–2024:11:21:13:49:50

Set up and use Multi control

Multi control allows you to use a Bluetooth keyboard and mouse to navigate your Galaxy phone and Galaxy tablet. You can open apps, type messages, send emails and prepare documents as if you were using a PC, or even drag and drop videos, photos and other files from one device to the other. Make sure a Bluetooth keyboard or mouse is connected to your Galaxy tablet before starting.

Step 1. On your tablet, go to Settings > Connected devices > Multi control.

Note: If the feature is not already turned on by default, tap the switch to turn it on.

Step 2. Tap Connect phone.

Step 3. Select your phone in the Nearby phones list.

Step 4. Your phone and tablet will be connected. Tap Phone location to change the display arrangement.

Step 5. Select arrangement option.

Step 6. Now you can use a Bluetooth mouse and keyboard to copy and paste text as well as drag and drop images from one device to another.

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Grok-2, l'IA d'Elon Musk… qu'il ne faut surtout pas utiliser en entreprise

Grok-2, l'IA d'Elon Musk… qu'il ne faut surtout pas utiliser en entreprise ✍Highlight–2024:10:30:09:57:22

Lancé en aout 2024, Grok-2 culmine en tête du classement de la Chatbot Arena. Que vaut pour autant le modèle de xAI dans le cadre d'une utilisation en entreprise ? On vous explique.

C'est une IA dont Elon Musk affirme qu'elle est totalement libre et dénuée d'idéologie. Publié en aout 2024 par xAI, la branche dédiée à l'intelligence artificielle de X (jadis Twitter), Grok-2 se veut un modèle polyvalent capable de répondre à une grande variété de requêtes. Les équipes de xAI affirment que le modèle est à l'état de l'art en raisonnement, et surperformerait Claude 3.5 Sonnet et GPT-4 Turbo. Qu'en est-il vraiment ? Grok-2 peut-il être utilisé en entreprise ? Le JDN fait le point sur ce modèle d'un nouveau genre.

Pas un, mais deux modèles

Grok-2 est en réalité une famille composée de deux principaux modèles : Grok-2 et Grok-2 mini. Le premier, le plus capable des deux, est pensé pour les tâches nécessitant un raisonnement avancé ou pour des requêtes complexes. Le second, Grok-2 mini, est taillé pour la rapidité. Les deux modèles disposent de capacités multimodales en vision. Ils sont capables d'analyser des images. D'un point de vue technique, xAI reste véritablement opaque sur le type d'architecture, les données d'entraînement utilisées ou encore le nombre de paramètres des deux modèles.

Les quelques informations publiées au sujet de Grok-1, la première version du modèle, laissent à penser qu'il s'agit très probablement d'un modèle Transformer autoregressif. Jadis, xAI évoquait des données issues du web pour entrainer Grok-1. L'approche avec Grok-2 doit être peu ou prou la même. Les chercheurs de l'entreprise ont très probablement utilisé des données directement issues de X (Twitter) pour former le modèle. Le réseau social a, en effet, changé sa politique de conservation de données pour autoriser l'utilisation à des fins d'entraînement pour des systèmes d'IA. L'arrivée de la multimodalité suggère également un entraînement sur un vaste dataset d'images en tous genre.

Un modèle équilibré dans les benchmarks

Dans les benchmarks, Grok-2 affiche de très (trop ?) belles performances. Sur le benchmark MMLU évaluant les connaissances générales, Grok-2 obtient 87,5%, surpassant légèrement GPT-4 Turbo (86,5%) et Gemini Pro 1.5 (85,9%), mais restant juste derrière GPT-4o (88,7%) et Claude 3.5 Sonnet (88,3%). Pour les tâches mathématiques complexes (benchmark MATH), Grok-2 atteint 76,1%, dépassant nettement Gemini Pro 1.5 (67,7%) et Claude 3 Opus (60,1%), et se rapprochant de GPT-4o (76,6%). Enfin pour les tâches d'analyse d'images, Grok-2 excelle particulièrement sur MathVista avec 69,0%, surpassant GPT-4o (63,8%), Claude 3.5 Sonnet (67,7%), et Gemini Pro 1.5 (63,9%).

Des performances au coude-à-coude donc avec les meilleurs modèles du marché, qui font craindre à certains de nos interlocuteurs une sur-optimisation du modèle pour certains benchmarks. Grok-2 mini affiche de son côté des performances plus basses mais encore raisonnables.

Des performances dignes d'un LLM milieu de gamme

Grok-2 apporte-t-il une véritable évolution dans le monde du LLM multimodal ? Nos tests démontrent des résultats de qualité moyenne.

En génération de texte, en français, le modèle de xAI produit une prose assez fade, très factuelle, avec un langage peu diversifié, loin de GPT-4o, Gemini 1.5 ou encore de Claude 3.5 Sonnet.

©  Prompt : Génère un article de 1 000 mots en français avec l'angle : “Les 10 tendances dans l'IA en 2025”

En résumé de texte, Grok-2 se montre légèrement plus efficace qu'en génération. Ses résumés sont de bonne facture et condensent les principales informations de la source originale. Il est fort probable que le modèle ait été spécialement optimisé pour cette tâche précise, étant donné qu'il s'agit de sa fonction principale sur la plateforme X (anciennement Twitter). Cette spécialisation expliquerait ses performances particulièrement élevées dans ce domaine.

Prompt : résume cet article de recherche. – Capture d'écran / JDN © Capture d'écran / JDN

En génération de code, Grok-2 pèche encore. Le modèle parvient à fournir une première base propre mais largement perfectible. Le modèle ne surpasse pas GPT-4o, Claude 3.5 ou Gemini 1.5 en programmation. L'optimisation globale est à revoir tout comme la robustesse générale du code.

Le problème avec Grok-2

L'origine de Grok est également sa plus grande faiblesse. Lancé à l'origine par xAI, sous l'impulsion d'Elon Musk, Grok-2 devait apporter une réponse aux modèles d'IA trop bridés pour exprimer des opinions impopulaires ou non consensuelles. Bien que le modèle jouisse actuellement d'une liberté d'expression quasi illimitée, cette caractéristique présente un inconvénient majeur : l'absence presque totale de garde-fous. Grok-2 répond à toutes les questions, jusqu'aux plus problématiques. Nous avons par exemple pu lui faire générer le texte d'un potentiel courriel d'hameçonnage sans contourner aucune mesure de sécurité. Cette absence de garde-fous pose un problème majeur pour les entreprises qui souhaiteraient utiliser Grok-2. Un modèle sans restrictions éthiques pourrait potentiellement générer du contenu inapproprié, offensant ou même illégal, exposant la société à des risques juridiques et réputationnels.

Par ailleurs, le manque de transparence concernant les principales caractéristiques du modèle et le dataset utilisé pour son entraînement est particulièrement problématique. Contrairement à d'autres acteurs comme OpenAI, qui fournissent au moins quelques informations sur leurs modèles, xAI reste très opaque.

Pour le moment, Grok-2 est disponible sur la plateforme X (Twitter) avec un abonnement Premium à 8 dollars par mois. xAI prévoit également de le rendre accessible prochainement via son API pour développeurs. Toutefois, l'utilisation de Grok-2 dans un cadre professionnel est fortement déconseillée à l'heure actuelle. Ses performances techniques face à la concurrence et ses lacunes en matière de sécurité et d'éthique en font un choix trop risqué.

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Graphique: La bataille des chaînes d'information en continu | Statista

Graphique: La bataille des chaînes d'information en continu | Statista ✍Highlight–2024:10:28:09:00:46

D'après de récents chiffres publiés par Médiamétrie, société spécialisée dans la mesure d'audience et l'étude des médias audiovisuels et numériques en France, CNews a dépassé BFMTV, jusqu'alors leader incontesté des chaînes d'information en continu, dans les audiences de mai et juin 2024. CNews, qui appartient au groupe Canal+, contrôlé par Vivendi, le groupe du milliardaire Vincent Bolloré, a récemment écopé de 80 000 euros d’amendes de l'Arcom pour « manquements » à ses obligations concernant deux séquences, l'une que l'Autorité a jugée susceptible d'inciter à la haine contre les immigrés et l'autre pour des propos climatosceptiques. C'est loin d'être la première fois qu'une chaîne du groupe Bolloré fait l'objet d'un rappel à l'ordre de l'Arcom, puisque près de 40 mises en garde, mises en demeure et amendes ont été prononcées par le CSA puis l'Arcom contre C8 et CNews depuis 2016.

Comme le montre notre graphique, qui retrace l'évolution des parts d'audience des chaînes françaises d'info en continu, la popularité de CNews n'a cessé de croître ces dernières années. La chaîne s’est hissée à la seconde place devant LCI en 2020 ; sa part d'audience s'établissait alors à 1,4 %, mais elle a atteint 3,5 % en juin dernier. BFMTV, jusqu'alors la chaîne d'info en continu la plus populaire en France, a vu sa part d'audience se maintenir autour de 3 % ces dernières années : elle était de 3,4 % le mois dernier. LCI et franceinfo ont également vu leurs audiences augmenter légèrement mais de manière constante depuis 2017. Elles représentaient 2 % et 1 % des audiences en juin, respectivement.

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Fisc, armes, sexe et drogue : que sait-on des accusations visant Hunter Biden, fils du président américain ? – Libération

Fisc, armes, sexe et drogue : que sait-on des accusations visant Hunter Biden, fils du président américain ? – Libération ✍Highlight–2024:11:01:09:47:29

A quelques jours des midterms, l’affaire Hunter Biden, serpent de mer de la vie politique américaine depuis deux ans et indémêlable sac de nœuds, ressurgit dans l’actualité. Un rapport d’une organisation conservatrice américaine appelée Marco Polo relance la polémique sur les agissements du fils du président des Etats-Unis, révélés dans une fuite de données informatiques en 2020, et qui agite les républicains depuis. Contrairement à ce qu’affirment certains, dont l’auteur du rapport, la plupart des faits recensés n’ont rien d’exclusif, mais le pavé de plus de 600 pages remet au goût du jour les accusations diverses : recours à la prostitution, pornographie, usage de drogues et fraude fiscale. Ce dernier point étant par ailleurs au cœur d’une enquête qui pourrait valoir des poursuites au fils du Président.

L’origine de l’affaire est des plus rocambolesques. Selon le camp républicain, tout partirait d’un réparateur d’ordinateurs du Delaware, Mac Isaac. L’homme, qui se trouve être un pro-Trump revendiqué (il participera d’ailleurs à des meetings après la médiatisation de l’histoire), a pour particularité d’être presque aveugle. D’après sa version des faits, une personne (qu’il dit ne pouvoir formellement identifier, à cause de ses problèmes de vision) lui aurait amené un ordinateur − qu’il identifiera plus tard comme appartenant à Hunter Biden − sans venir le récupérer ensuite, ce qui d’après la loi de cet Etat lui permet légalement de disposer de l’appareil. D’après l’enquête du New York Magazine, cette version serait contestée par les avocats de Hunter Biden, mais l’enquête (privée, une pratique courante aux Etats-Unis) de ces derniers est toujours en cours.

Après avoir inspecté les centaines de gigaoctets d’informations contenues dans l’ordinateur, Mac Isaac découvre des déclarations fiscales ainsi que moult images qui vont de souvenirs intimes (les derniers instants du frère de Hunter Biden, Beau, mort d’un cancer) à des contenus pornographiques amateurs impliquant Hunter, sans oublier des vidéos où ce dernier consomme différents psychotropes. Le réparateur contacte d’abord le FBI, avant de finalement joindre Robert Costello, l’avocat de Rudy Giuliani (déjà impliqué dans les pressions infligées au gouvernement ukrainien pour ouvrir une enquête sur Hunter et Joe Biden durant la campagne présidentielle), lui-même avocat de Donald Trump, alors président des Etats-Unis et candidat à sa réélection. Giuliani transmet ensuite le leak à Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump et maître à penser de l’extrême droite américaine et mondiale. C’est ce dernier qui contacte différents médias conservateurs pour leur transmettre le contenu du disque.

Prudence des médias

Le parcours de ces fichiers (dont la traçabilité reste encore impossible à établir) et la difficulté à prouver l’authenticité de leur contenu (ils ont a minima été réordonnés) ont largement contribué à la méfiance des médias et des plateformes dans un premier temps. Une frilosité également liée aux profils troubles des sources à l’origine de l’affaire, de l’avocat de Trump à Steve Bannon, et au contexte nébuleux qui entoure encore aujourd’hui les circonstances dans lesquelles l’ordinateur de Hunter Biden s’est retrouvé «oublié» chez un réparateur informatique du Delaware aveugle et ardent supporteur de Trump.

Cette prudence des médias a été louée par certains : pour eux, c’est la preuve que des enseignements ont été tirés de la peu reluisante affaire John Podesta, quatre ans plus tôt. Le chargé de la campagne électorale de Hillary Clinton avait vu ses mails piratés. Et l’exploitation sauvage de ces contenus, sans souci d’authentification, avait nourri des théories conspirationnistes. A l’inverse, le camp républicain a volontiers assimilé ces réserves à de la censure politique. Certains rares médias se sont malgré tout emparés de l’affaire. Les premiers articles sont ainsi publiés par le New York Post, tabloïd conservateur américain, en octobre 2020, dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle, une quinzaine de jours avant le scrutin. Le titre de presse accuse le candidat démocrate d’être impliqué dans les affaires de son fils en Ukraine, en lien avec la société gazière Burisma. Le premier article est intitulé «Un mail révèle comment Hunter Biden a présenté un homme d’affaires ukrainien à son père», et se fonde intégralement sur des informations extraites de l’ordinateur de Hunter Biden. A l’époque, la diffusion de l’article du New York Post est entravée par Twitter et Facebook.

Il a fallu attendre plus d’un an pour que des grands titres (comme le Washington Post en mars 2022) s’intéressent aux données de Hunter Biden et réussissent à authentifier au moins une partie des mails, dont celui sur lequel se fondait le New York Post dans son premier article. Le New York Times, le Washington Post et le New York Magazine se penchent sérieusement sur l’affaire en 2022 avec de plus amples enquêtes, et l’avancée de la procédure judiciaire qui pourrait viser Hunter Biden. Car le leak informatique croise − et vient possiblement nourrir − une enquête, lancée préalablement par la justice américaine. Cette dernière aurait commencé en 2018, d’après les informations du Washington Post. Les enquêteurs se seraient d’abord intéressé aux finances de Hunter, en lien avec ses activités d’avocat et de lobbyiste, en Asie et en Europe. Depuis, les enquêteurs se concentreraient sur deux aspects : ses déclarations de revenus, et sur la question de savoir s’il a menti lors d’un achat d’arme à feu en 2018 (qui implique de déclarer ne pas consommer de drogue, alors que Hunter concède lui-même dans son livre avoir été addict au crack cette année-là). Néanmoins, la justice américaine n’a, à ce jour, pas encore décidé si elle allait engager des poursuites. Et le Washington Post n’a pas réussi à établir si le contenu de l’ordinateur était utilisé dans le cadre de l’enquête.

Deux affaires distinctes

Le «rapport» de Marco Polo, écrit par Garrett Ziegler, un ancien collaborateur de Trump à la Maison Blanche, âgé de 26 ans, vient donc relancer l’affaire ces jours-ci. Il n’est pourtant qu’un simple commentaire très détaillé du leak assorti d’annotations graveleuses, autant sur la morale que sur les implications légales de l’affaire, souvent exagérées. Le site de Garrett Ziegler a mis en ligne les mails de Biden sur une plateforme agrémentée d’un moteur de recherche. CheckNews n’a pas été en mesure d’authentifier l’entièreté de la base de données. On retrouve toutefois les mails authentifiés par d’autres médias. Aucun des éléments contenus dans son rapport n’apparaît vraiment «exclusif», comme il le prétend.

Le passé d’addict au crack de Hunter Biden, avec en toile de fond le deuil difficile de son frère terrassé par un cancer, était connu, assumé par l’intéressé et par son père, qui ne cherchait pas à éviter le sujet. La plupart des éléments brandis par les tabloïds et les républicains sont d’ailleurs en partie focalisés sur des aspects plus moraux que légaux, notamment les images pornographiques de Hunter ou encore sa liaison avec la veuve de son frère - sur laquelle ce dernier ainsi que son ex-femme se sont tous les deux exprimés. Du propre aveu du réparateur d’ordinateur à l’origine de la fuite, qui a réagi auprès du New York Magazine, toute une partie des accusations comme celle de pédopornographie sont fausses.

Une des principales obsessions des républicains est de chercher à lier le président démocrate aux démêlés judiciaires de son fils. Joe Biden, pourtant, n’est à ce stade nullement concerné. Pour accuser ce dernier, ils se fondent sur des éléments extirpés de l’ordinateur de Hunter Biden pour deux affaires distinctes.

La première concerne donc Burisma, la compagnie gazière ukrainienne avec laquelle Hunter Biden a travaillé. Dans un mail daté d’avril 2015 - quand Joe Biden était vice-président -, que CheckNews a pu consulter, et que différents titres américains ont authentifié, un dirigeant de la société, Vadym Pozharskyi, remercie Hunter Biden pour une invitation à Washington et pour lui avoir «donné une opportunité de rencontrer [son] père et de passer du temps ensemble». Ce qui ne suffit pas à impliquer qu’un entretien ait eu lieu. En 2020, la campagne de Biden avait d’ailleurs rétorqué que cette rencontre était contredite par l’agenda officiel.

La seconde affaire concerne les activités de Hunter Biden en Chine. C’est un simple mail, envoyé à ce dernier, qui mentionne une rétribution de 10 millions «gardé[e] par H pour le big guy [sic]», qui serait Joe Biden (alors un simple citoyen, l’intéressé n’étant plus vice-président) d’après ceux qui l’accusent. Rien de plus ne corrobore cette histoire. D’après le New York Magazine, ce partenariat financier n’a finalement pas abouti.

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ens/daily_notes.txt · Dernière modification: 09/06/2024 de jeannot